Avec Fanny, Viviane, Cyrielle, les deux Fred, Jean-François, Christophe, Jean-Marc, les deux Eric, Rémi, François, les deux Sébastien, Jean-Yves, Nicolas, Lio et Christian.
Avec les potos qui nous accompagnent sous terre. « C’est quand qu’on y retourne ? »
Nous étions dans l’Aude, à la frontière de l’Ariège pour participer à un stage de cinq jours de secours spéléo.
Au programme, mercredi et jeudi entraînement en falaise, vendredi, le Corbeau, samedi, le Jean Bernat et le SP1, dimanche, nettoyage de matos et de lavoir.
Le soir, après un repas de roi préparé par Brigitte et Anne au gite de Comus : https://www.gites-comus.com/ (adresse cinq étoiles à diffuser sans modération), cours magistraux dans l’ancienne école du village. Les techniques de secours, le travail en équipe, le rôle de chacun, les paroles précises, l’organisation des secours, l’historique local du secours spéléos, les transmissions, le déclenchement des pré-alertes et alertes… sont abordés sous la houlette des voix mélodieuses de nos gentils organisateurs.
Les palans, les balanciers ou autre tyroliennes n’ont plus de secrets pour nous … sur le papier. Il n’y a qu’un pas – ou plutôt un grand écart – pour passer à la pratique; les deux premiers jours en falaise, les deux suivants sous terre.
Bilan du stage : « suis content » et pléthore de choses apprises dans le secours spéléo.
Le secours spéléo est organisé et géré par les spéléos eux-mêmes dans une volonté de pérennisé l’activité et d’une libre pratique.
Vivement la prochaine virée 😎 .
Un grand merci à tous pour votre engagement.
Entraînement falaise
Installation de tyrolienne
Révision de nuit.
Les photos sont floues… un peu comme nous d’ailleurs 😆 .
Le Corbeau
Passerelle d’entrée.
C’est parti. Le petit point lumineux en bas, c’est l’éclairage de la victime conditionnée dans la civière. Dur dur pour elle : thorax écrasé + un fémur.
Ça passe ! Le nez n’a même pas touché.
Victime en attente dans son point chaud.
Merde ! Un secouriste fatigué se blesse : « sur-accident !!! « .
C’est parti pour du brancardage soulagé par un palan, non une assurance, euh non un palan.
Une équipe se positionne déjà sur le dernier obstacle : la remontée à la passerelle.
La sortie, c’est là haut.
La victime, shootée par la morphine ne souffre plus.
Balancier avec contre-poids accompagnateur + sortie pif-paf en tyrolienne.
Sortie des derniers personnels.
Yep ! A table ! Que du naturel.
Mercredi : lapin moutarde et ses fèves du potager
Jeudi : daube accompagné de lactaires du cru
Vendredi : agneau sur son lit de topinambour (mon préféré)
Samedi : caille farcie et son manège de petits pois
C’est ça le secours spéléo. Ou est-ce qu’on signe ?
Le petit livre carnet rouge.
Le Jean Bernat (ou un truc comme ça)
12h30 on mange. On n’a pas loupé un truc hier.
En plus on a pris le réchaud pour le café. L’eau frémit. « C’est qui qui a pris le café ? »…
Top à la vachette !
Les trémies ariégeoises
Ça continue et ça passe !?!
La sortie du trou. Ca passe, oui, non, oui, … non. Le Balisto dans la poche du buste de la victime a fait coin sous Fannye le laminoir.
Promenons nous dans les bois.
Dimanche
Nettoyage matos … sous la neige. Au retour, quand tu laves ton matos perso à la maison, tu demandes à ta femme si elle n’a pas branché le tuyau d’arrosage du jardin au cumulus !
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