Canyon Salt del Pi – Préhistoziols Préhistotreens

Avec Louise, Jeanne, Charlotte, Noah, Ophélie et François.

Le canyoning est une activité complète, puisqu’elle associe pratique physique, technicité, verticalité, milieux aquatiques, sang froid, entraide dans de beaux paysages combinant milieu minéral et aquatique. Pour cela, l’acquisition progressive de l’utilisation du matériel individuel est plus que recommandée.

Les groupes des enfants entre 10 et 16 ans de l’école d’aventure de Préhistoroc étaient prêts a se mettre à l’eau ce samedi 11 juin. Au programme, marches, nages, toboggans naturels, rappels, sauts et manips de descente sur le huit dans les gorges de Mondony près d’Amélie les Bains. Au retour aux véhicules, la petite équipe avait la banane, prête aller découvrir de nouvelles descentes !

Via ferrate – Préhistoziols Préhistoteens Préhistoolds

Avec Isabel, Déborah, Kassandra, Garance, Charlotte, Matis, Noah, Arthur, Philippe, Vanessa, Nico et François.

Toujours extrême cette via concernant les conditions : quand ce n’est pas le froid, ni le vent, c’est la chaleur !

Avec quasi 2 heures d’avance sur le teaming, un plan qui se déroule sans accroc. Trop pépouse pour la team, va falloir aller se frotter à celles des Alpes.

Les Gouleyrous – Préhistokids Préhistochilds

Avec Faustine, Lucia, Eloïse, Cléa, Abel, Morgan, Raphaël, Thomas, Eric, Julien, Nico et François.

Nous sommes allés chercher la fraicheur aux Gouleyrous. Excellente session cet après-midi.

Cela faisait un petit moment que je n’avais pas vu les plus jeunes du club évolués. Ils m’ont tous bien impressionné par leur progression, que ce soit en technique gestuelle ou en gestion des émotions . J’allais oublié. Super attitude pour tous, de vrais petits grimpeurs : entre aide mutuelle et moment de partage, volontaires pour porter le matériel sans rien demander, conseils échangés pour les méthodes et l’assurage, échanges de gouters, ramassage des bouteilles d’eau oubliées,… L’Esprit Club Alpin en avant. Beau cadeau de retour.

Côté filles. Eloïse, Faustine et Cléa ont enchaîné fingers in the nose. Les pas blocs sordides de départ de voies sont facilement avalés. En très peu de sorties en extérieur, gros gros changements, Lucia monte toujours plus haut, la préhension des prises se précise, l’appréhension du vide s’acclimate, les descentes se font à fond la caisse. Progression exponentielle de la maîtrise mentale, phase non négligeable de l’activité. Je n’avais jamais vu ça.

Big up les Préhistogirls !

Côté garçons. Raphaël, Thomas, Eric font les tops. Comme les miss, les méthodes sont trouvées et les crux sont franchis rando. Le flow était présent. Abel fait des démonstrations de pose de pieds. Et pour un coup d’essai, Morgan n’a pas été en reste.

Bravo les Préhistoboys !

Merci à Julien le paparazzi pour l’aide et les photos. Vraiment une belle journée dans un site toujours aussi magnifique. Les sourires étaient sur les visages des petits comme des grands.

Les Canalettes – Préhistoziols Préhistoteens Préhistoolds

Avec Louise, Matis, Matilde, Noah, Kassandra, Garance, Raphaël,
Valérie, Véro, Vanessa, Aurélie, Philippe, Jean-François, Christophe et François.

L’école d’aventure des Préhistoroc est allée crapahuter dans la galerie des Macaronis pour atteindre la salle Amour dans les grottes des Canalettes. Que d’émotions après un arrêt de deux ans des sorties spéléo pour cause COVID. Située au cœur du sanctuaire Catalan à 300 mètres de la Cité Médiévale de Villefranche-de-Conflent, la grotte des Grandes Canalettes se trouve au pied du Massif du Canigou. Une journée de rêve passait sur un site unique en France. La grotte des Grandes Canalettes aussi appelée « le Versailles souterrain des Pyrénées », est une symphonie au centre de la terre. Elle figure aujourd’hui parmi les plus belles grottes de France. Le spectacle féérique qu’offre toutes les concrétions naturelles reste toujours magique. Entre fistuleuses, excentriques, draperies et autres canyons de calcite blanche, on ne sait plus où tourner son regard. La balade débute par la partie aménagée des grottes. Depuis plus de trente ans que nous parcourons ce réseau de plus de 23 km, l’accueil de la famille Delonca est toujours identique : simple et passionné. Corine et Betty aiment faire partager ce joyau aux spéléologues de passage. A elle seule, la partie aménagée vaut vraiment le coup d’œil. Pour les spéléos en herbe, la première partie est vite avalée. La petite troupe s’engouffre alors dans les galeries non éclairées. Quelques passages techniques, où l’aide de la corde ou d’une échelle facilite le franchissement, ponctuent le parcours. Après un casse croûte rapidement avalait, les enfants s’enfourratent dans les chatières de la grande salle finale. Bain de boue garanti. Encore une belle journée intergénérationnelle partagée. « Parce qu’on est jeune et con. Parce qu’ils sont vieux et fous ». Mille mercis aux spéléologues du CAF de Perpignan qui ont accompagnés les jeunes du club.

Et c’est qui les plus cracras ?